Bouts de Nous

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LA PARENTHESE EST FERMEE

 

 

 

Il est des jours où la protestation qui aurait dû être exprimée est restée enfouie, le positionnement est resté vain parce que pas assez clair et la colère est vite arrivée. Cet état me mène là, où, le silence construit de grands murs autour de moi et m'empêche de parler, de partager, de dire, d'écrire. La tempête au fond de moi se déchaine et ma tête bouillonne.

Et puis, une nuit passe parfois plusieurs et le temps met cette distance nécessaire pour prendre du recul, et dépassionner les évènements.

 

Cette fois les esprits n'ont pas eu besoin de plus qu'une nuit pour s'apaiser, le calme est revenu et les mot sont sortis. Les mots qui soulagent, qui permettent de mettre dehors le trop accumulé, et de partager les ressentis pour pouvoir passer à autre chose. Il me connait bien, et avait senti ma contrariété, il a pris le temps de me questionner. Je me suis sentie entendu, comprise, et même approuvée.

La prochaine fois, (dans un mois, rebelote... à la maison) les choses seront  identiques, elle n'aura pas changée et moi non plus d'ailleurs... la situation n'aura pas évolué mais j'aurai un allié à mes côtés, nous affronterons ou esquiverons ensemble "les intrusions et séquestrations" exagérées.

 

 

 



23/03/2011
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